Les défis agricoles du XXIe siècle : la raison d’être de LumAgri

D’ici 2050, nourrir une population mondiale croissante exigera une augmentation de 56 % de la production agricole par rapport à 2010.

Cela représenterait près de 600 millions d’hectares supplémentaires — soit vingt fois la surface agricole française. Dans ce contexte, la souveraineté alimentaire s’impose progressivement comme une priorité stratégique, dépassant celle de la seule souveraineté énergétique. Les mobilisations agricoles en Europe en sont déjà le signal.

Mais produire plus ne suffit pas. Il faut inventer de nouveaux modèles :

réduire l’usage des intrants chimiques et de l’eau face aux sécheresses et à l’épuisement des réserves ;

préserver les sols, la biodiversité et le bien-être animal ;

garantir la résilience des exploitations face à des aléas climatiques devenus structurels.

Le changement climatique, par sa brutalité et sa rapidité, bouleverse déjà les équilibres agricoles mondiaux. Sécheresses, canicules, gels tardifs, grêles… ce qui était exceptionnel devient la norme. L’agriculture doit s’adapter, sans renoncer à sa vocation nourricière.

Volume de production agricole nécessaire à l’alimentation humaine en 2050 :

En C’est dans cette urgence que s’inscrit l’agrivoltaïsme : une réponse agro-technologique pensée pour protéger les cultures tout en valorisant les terres. Chez LumAgri, nous défendons une approche agricole avant tout.

Inspiré des principes de l’agroforesterie, l’agrivoltaïsme permet d’installer des structures photovoltaïques intelligentes au-dessus des cultures, avec trois objectifs clairs :

 - Créer un microclimat protecteur, sans concurrence hydrique ;

 - Optimiser la lumière, essentielle à la photosynthèse, grâce à des persiennes pilotables qui s’adaptent aux besoins des plantes ;

 - Autofinancer le dispositif, par la production d’énergie verte, afin de le rendre accessible aux agriculteurs, avec ou sans investissement direct.

Alors que la France enregistre une baisse de 11 % de sa production alimentaire en cinq ans, et que le GIEC prévoit une perte mondiale moyenne de rendement de 20 % d’ici 2050, LumAgri s’engage à faire de l’agrivoltaïsme un outil au service de la terre, des agriculteurs et de la souveraineté alimentaire.